Nous trouvons facilement un grand taxi pour nous conduire à Surco, un des 42 districts de Lima où nous sommes accueillis chaleureusement par un couple d'amis franco-argentin, Maria Ana et Serge. Leurs trois enfants, nés en Argentine, ont étudié à Buenos Aires, puis en France, à Malicorne et maintenant au lycée franco-péruvien de Lima.
Dès la sortie de l'aéroport, nous sommes plongés dans la réalité de la circulation chaotique et anarchique de Lima. Ici, le klaxon a remplacé le clignotant, les feux de circulation ne sont pas respectés, les priorités n'existent pas. Pour avancer, il faut savoir trouver un petit espace libre à gauche ou à droite et essayer de se faufiler entre les voitures tout en surveillant celles qui viennent de gauche ou de droite. Cette conduite en zigzag ralentit évidemment la circulation, provoquant des embouteillages permanents (ici on dit, congestion). Il faut ajouter les mini bus (combis et colectivos) qui ne cessent de s'arrêter et de repartir à toute vitesse sans perdre de temps. C'est ainsi que nous avons mis une heure et demie pour parcourir 25 km pour atteindre Santiago de Surco.
L'appartement où nous sommes pour quelques jours est situé dans un quartier résidentiel, éloigné des grands axes de circulation.
Les quartiers résidentiels sont parsemés d'espaces verts et de parcs bien entretenus où, chaque matin, les employés de maison viennent promener les chiens de leurs maîtres. C'est leur lieu de rencontre.
Combi où l'on entasse les passagers |
Rue de Lima |
Si je pouvais conduire je respecterais les règles Donnons l'exemple |
C'est l'heure de la promenade |
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire