Passer du niveau de la mer à 4650 m d'altitude sur 200 km donne une idée des côtes que nous avons dû gravir. En fait, le vélo a surtout servi à transporter nos bagages. Nous, nous avons poussé les vélos car ce parcours est plutôt réservé aux cyclistes qui ont l'habitude de monter des cols. Ici, ils devraient se régaler! Mais nous ne regrettons pas d'avoir entrepris ce voyage, ne serait-ce que pour les paysages grandioses. Et puis les vélos poussés nous ont donné l'occasion de rencontres intéressantes : avec des employés de Engie, avec des Chiliens qui nous ont transportés dans leur pick up, avec des routiers boliviens, avec un berger bolivien musicien, avec des gens simplement curieux. Les contacts ont vraiment été faciles, tant sur la route que dans les villages où nous nous sommes arrêtés, avec Chiliens, Boliviens ou Péruviens.
Une page du voyage se tourne, nous entrons en Bolivie.
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