Nous sortons facilement de Tacna par une quatre voies très tranquille et facile : tout se fait en descente. C'est toujours le désert mais quelques terrains sont irrigués. On y cultive des oliviers, un peu de vigne et des légumes dont des pommes de terre que l'on récolte en ce moment. Et toujours ce projet d'irrigation jusqu'à la frontière chilienne. S'il voit le jour, le désert se transformera en oasis.
Pour rentrer au Chili, nous devons remplir de nombreux papiers. Il faut désormais déclarer les vélos!
Et c'est avec un bon vent de face que nous allons jusqu'à Arica où nous trouvons notre hébergement.
Dans le désert |
De futurs agriculteurs ? |
Protection sanitaire sévère au Chili |
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